Les métiers de demain… quoi qu’il en coûte
En octobre 2019, la Réditec (Réunion des directions techniques) nous invitait à réfléchir sur l’avenir de la profession. 180 participants rassemblés au TNS planchaient alors sur les métiers de demain…et d’après-demain. Une crise sanitaire plus tard, la Réditec poursuivait ses travaux à l’occasion d’une rencontre nationale malicieusement intitulée “Nos métiers de demain… et d’après-demain… quoi qu’il en coûte”. L’acte II se déroulait à la Philharmonie de Paris ce 8 octobre. Une rencontre non seulement intéressante, mais également importante.
Sur le parvis de la Grande Halle de la Villette et dans les couloirs de la Philharmonie de Paris, on se hèle et on s’interpelle. Le plaisir de se retrouver est palpable. Jean-Jacques Monier, président de la Réditec, révèle d’ailleurs en introduction le mot d’ordre des organisateurs : “En présentiel sinon rien”. Déjà une forme de réponse aux questions qui animeront les débats de l’après-midi. Brillamment modérés par Sophie Proust, les échanges visent plus spécifiquement à déterminer les répercussions économiques et sociales, les conséquences sur la santé et les mutations induites sur l’organisation du travail par la crise que nous venons de traverser.
Pourquoi les DT ?
Premier constat